INFORMATIONS UTILES

MOTORBIONET

Motorbionet vous propose une solution unique et innovante, un additif aux carburants non inflammable, issu de la nanotechnologie sous forme de pastille ou en liquide pour décarboner tous les moteurs thermiques à essence, diesel, hybride et GNR. Il régénère tous les organes mécaniques du moteur à savoir : injecteurs, soupapes, catalyseur, vanne EGR, turbo, filtre à particules (FAP)… Sans aucune intervention mécanique, ni démontage du moteur.

Que vous ayez des émissions polluantes avec ou sans fumée noire, une perte de puissance, un démarrage difficile, une surconsommation de carburant, cet additif aux carburants à usage unique va procéder à la décarbonation du moteur thermique et au nettoyage en profondeur de tous les organes mécaniques du moteur qui va vous permettre d’économiser le carburant.

Cet additif au carburant est certifié CE et aux normes ISO 9001, ISO 14001, ISO 45001.

L'Agence Américaine de Protection de l'Environnement (EPA) déclare que l’additif est un produit respectueux de l'environnement.

L'organisme international Intertek a testé et approuvé l'efficacité de cet additif aux carburants en efficacité sur le traitement des particules fines et du dioxyde de carbone (CO2). Cela est résumé par le certificat d'analyse n° NE700-0036455 du 24/05/2022 par le laboratoire d'identification 22-009114-0-ROAM-001-02.

Finalement, cet additif aux carburants peut être utiliser pour un usage préventif ou curatif et vous permets d’éviter la surconsommation de carburant.

FRANCE

En France, depuis le 1er juillet 2019 le contrôle technique porte désormais une attention particulière aux taux d’émission des gaz polluants CO2 (dioxyde de carbone) et NOx (Oxydes d’azote) et à l’opacité des fumées d’échappement.

Depuis 2022, les centres de contrôles techniques ont ajouté à leur processus de contrôle, le diagnostic des 5 gaz :

  • Oxydes d’Azote (NOx)
  • Monoxyde de carbone (CO)
  • Dioxyde de carbone (CO2)
  • Hydrocarbures imbrûlés (HC)
  • Oxygène (02)

Depuis le 15 avril 2024, le nouveau contrôle technique est appliqué aux deuxroues, trois-roues ou quadricycles motorisés doit vous permettre de constater l’état de votre véhicule, de prendre connaissance d’éventuelles défaillances et de les faire réparer. Cette inspection périodique obligatoire concerne les véhicules de catégorie L, donc notamment :

  • Les cyclomoteurs
  • Les motos
  • Les scooters
  • Les tricycles à moteur
  • Les quadricycles légers et lourds

Ce nouveau contrôle technique est mis en place progressivement, selon le calendrier suivant :

Si votre véhicule a été mis en circulation avant le 1er janvier 2017 et que la date anniversaire de sa première mise en circulation est avant le 15 avril, ce contrôle est à effectuer entre le 15 avril et le 14 août 2024 (exemple : véhicule immatriculé en 2015 et mis en circulation le 20 janvier 2015 : premier contrôle à réaliser entre le 15 avril et le 14 août 2024).

Si votre véhicule a été immatriculé avant le 1er janvier 2017 et que la date anniversaire de sa première mise en circulation est après le 15 avril, son premier contrôle est à réaliser au plus tard 4 mois après la date anniversaire de la première mise en circulation et dans la limite du 31 décembre 2024 (exemple : véhicule immatriculé en 2015 et mis en circulation le 20 juin 2015 : premier contrôle à effectuer au plus tard le 20 octobre 2024)

Si votre véhicule a été immatriculé entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019, son premier contrôle doit être effectué en 2025.

S'il a été immatriculé entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2021, son premier contrôle doit être réalisé en 2026.

Si votre véhicule a été immatriculé après le 1er janvier 2022, il faudra effectuer son premier contrôle technique dans les 4 ans et demi à 5 années qui suivent sa mise en circulation.

La durée de validité de ce contrôle technique est de 3 ans.

À noter : Les motos utilisées dans le cadre de compétitions sportives, et appartenant à une personne titulaire d'une licence délivrée par une fédération sportive, ne sont pas concernées par la mise en place de ce contrôle technique.

SUISSE

En Suisse, selon l’Office fédéral de l’environnement (OFEV- Suisse) le trafic routier n’est pas seul en cause en matière de pollution de l’air. Les engins de chantier, machines agricoles, bateaux à moteur, scooters des mers, motoculture, souffleurs de feuilles et d’autres tondeuses à gazon émettent chaque année près de 500 tonnes de particules fines.

Le secteur dit non routier rejette en outre 10 000 tonnes d’oxyde d’azote et 1.2 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère d’après le rapport de l’Office fédéral de l’environnement de Suisse. Depuis l’entrée en vigueur de l’ordonnance sur la protection de l’air en 2009, les engins de chantier ont l’obligation de s’équiper de filtres à particules (FAP).